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17.04.2025

Peut-on commencer le trading à n’importe quel âge ?

Le trading est un miroir. Il ne reflète que celui qui le regarde. Un trader avide voit l’avidité du marché. Trop peureux — aveuglé par les risques. Si un trader a des idées préconçues sur l’impact de l’âge, le trading les mettra en lumière.

 

 

Certains attribuent les erreurs à la jeunesse. D'autres à la vieillesse. Il peut y avoir d'autres biais cognitifs. Ils sont innombrables. Mais le trading parle le langage des faits bruts.

 

Les trades ont-ils été réalisés en stricte conformité avec le système de trading ? Combien ont été effectués par jour, mois, trimestre, année ? Quel est le pourcentage de trades gagnants ? Quel est le résultat final ?

 

Si le profit en réel est inférieur à celui en démo, ce sont ces « biais » qui interviennent. Et plus ils sont nombreux, plus l’écart est grand. C’est là que la question de l’âge devient pertinente. Mais sous un autre angle. Qui évite le mieux les erreurs mentales ?

 

1. Ce n’est pas l’âge qui les a rendus performants

 

Mohammed Islam, lycéen de 16 ans à New York, a gagné plusieurs dizaines de millions de dollars en tradant pendant les pauses. Marty Schwartz, ancien militaire, a commencé à trader après 40 ans. Et à 45 ans, il a réalisé un rendement annuel de 781 % lors d’un tournoi aux États-Unis.

 

Ce n’est qu’une infime partie des histoires connues. Dans l’ombre, il y a des réussites encore plus impressionnantes. Des dizaines, voire des centaines de milliers de traders. Tous ne recherchent pas la gloire. Mais ils partagent des qualités communes.

 

Le lycéen comme l’ex-militaire ont connu l’échec au début. Ils ne se sont pas découragés. Ils ont corrigé leurs erreurs. Ils ont recommencé. Et ont obtenu d’excellents résultats. Ce n’est pas l’âge, mais l’esprit d’initiative, la persévérance et la discipline qui ont fait la différence.

 

2. De 25 à 75 ans

 

Benjamin Graham, père de l’analyse financière, proposait de diviser les investisseurs en deux catégories : défensifs et agressifs. Selon le profil, il fallait répartir les fonds entre investissements passifs et actifs. Les allocations allaient de 25,0 % à 75,0 %, et inversement.

 

Tout le monde connaît ce classique. Ces proportions aussi. Mais on oublie souvent comment Graham définissait les deux profils. Aujourd’hui, on y ajoute la variable de l’âge. Mais à l’origine, c’était la volonté de consacrer du temps et de l’effort qui déterminait le profil.

 

L’investisseur défensif cherche à faire le minimum d’efforts. Il prend des décisions simples et rares. L’agressif, lui, est prêt à passer du temps pour trouver de bonnes opportunités. Le niveau de risque n’a rien à voir. Le risque élevé est le signe d’un mauvais trade. Tous les investisseurs doivent l’éviter.

 

Selon Graham, l’investisseur agressif est un trader. Il aime « chercher de l’or ». Il aime trouver des moments opportuns. Si vous ressentez la même chose, le trading est fait pour vous. L’âge n’a aucune importance. Warren Buffett a acheté ses premières actions à 11 ans. Jesse Livermore était encore plus jeune. Et Marty Schwartz tradait toujours avec succès à 75 ans.

 

3. La bonne voie. Recommandations pratiques.

 

L’essentiel, c’est de ne pas compliquer. En trading, tout est assez simple. Il faut identifier un modèle de trading gagnant (stratégie). Si 60,0 % des trades sur 100 sont positifs, c’est déjà une stratégie viable.

 

Il faut prévoir la possibilité d’une série d’échecs dans la taille de la position. En général, cela signifie un stop loss de 0,25 % à 1,00 % du capital. Tout dépend de la valeur du modèle. Et il ne faut jamais s’écarter du respect strict de la stratégie. Les points d’entrée, de sortie et le volume sont constants. C’est la seule voie vers un trading rentable.